à l’occasion des 400 ans de la Défenestration de Prague (23 mai 1618)
Malgré sa dimension européenne, la Guerre de Trente Ans est encore aujourd’hui perçue du point de vue national dans la mémoire des principaux protagonistes : moment de résistance pour les Tchèques, souvenir traumatisant de massacres et d’humiliation politique chez les Allemands, glorification par les Suédois de leur roi Gustave-Adolphe… Une mémoire européenne de ce conflit est-elle envisageable au moment où des revendications identitaires ressurgissent ?
en coopération avec l’Équipe d’accueil Les Mondes allemands (Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis)
