d’après la réécriture d’extraits de Kleist, Büchner et Rilke
Laurent Contamin tisse trois expériences de vie et d’écriture, faisant émerger une interrogation subtile sur la place de l’homme vis-à-vis du monde, de l’autre et de lui-même. Un monologue théâtral où l’ironie n’est jamais loin, où les questions sont plus nombreuses que les réponses, où se fait évidente notre proximité avec ces trois grands poètes et empêcheurs de penser en rond de la littérature allemande.