France, 1983, 100 mn.
en coopération avec le Centre allemand d’histoire de l’art (DKF Paris) dans le cadre de son cycle thématique annuel intitulé L’Art en France à la croisée des cultures
Le film est construit autour du discours d’un cameraman fictif, Sandor Krasna, rédacteur de lettres lues tout au long du film par Florence Delay. Dans ses écrits, il va traiter successivement du temps, de la mémoire, de la fragilité humaine face aux séismes du Japon ou encore face à la famine, menace constante au Cap Vert ou en Guinée-Bissau. Ce ne sont pas les difficultés de ces sociétés qui sont montrées, mais plutôt leur façon de vivre et d’exister.