Munich, dans les années 1970 : Jules, Marty et Liz passent une enfance heureuse jusqu’à la disparition de leur parents dans un accident de voiture. Subitement, leur doux monde bascule dans une sombre stupéfaction et un brouillard épais. Addictions, rêves, replis sur soi ; dans une langue simple et touchante, Benedict Wells décrit les différentes manières dont ses protagonistes réagissent face à cette mort. Tous les trois ont du mal à se reconstruire. Après le succès de Vom Ende der Einsamkeit (Diogenes, 2016) qui vaut à Benedict Wells son surnom de jeune prodige de la littérature allemande, La Fin de la solitude paraît en France aux éditions Slatkine & Cie.