Pour Jörg Leichtfried, le piano solo est le plus grand défi qu’il soit. Il faut « accepter les dangers dans le cadre de l’ascension de cette montagne ». Le jeune pianiste reconnaît que jouer en solo, devant un public, est un pays inconnu. Sans « Teamgeist » pour vous guider, le jazz solo est une fièvre émotionnelle et intellectuelle.
Au programme, des compositions du pianiste, de Duke Ellington (Black and Tan Fantasy), un arrangement de Massive Attack (Teardrop)