Au moment de son exil à Paris en 1831, Heinrich Heine survit à la distance entre la France et l’Allemagne grâce à la correspondance avec sa mère qu’il surnomme « petite souris ». L’Ensemble de jazz de la Robert Schumann Hochschule, sous la direction de Paul Chamier, propose avec Bonne nuit, Harry une mise en valeur musicale du texte tantôt enthousiaste, tantôt mélancolique, mais toujours avec sensibilité et rythme. Une représentation mêlant lecture et jazz.