« La grande affaire de ma vie était de travailler à l’entente cordiale entre l’Allemagne et la France » écrit Heinrich Heine dans son testament en 1851. Enthousiasmé par la Révolution de juillet, le poète partit de Düsseldorf pour Paris en 1831. Au cœur de la France, « le pays sacré à la liberté », il sentait que « rapprocher les peuples » était sa « mission ». La promenade, ponctuée par des citations des lettres et des œuvres de l’auteur, mène aux appartements dans lesquels habita Heinrich Heine, jusqu’à sa tombe au cimetière de Montmartre.