Enthousiasmé par la révolution de juillet, Heinrich Heine émigra en 1831 à Paris, dans le « pays béni de la liberté ». Arrivé « au sommet du monde », il put observer, d’un regard critique, la vie politique et culturelle et écrire sur les grands pianistes virtuoses, les peintres célèbres, les conditions sociales et ses collègues écrivains. Les promenades, accompagnées de citations issues de correspondances et d’œuvres de Heine, mènent aux domiciles de l’auteur et de ses contemporains, en passant par le Musée de la vie romantique pour finir au cimetière Montmartre sur la tombe de Heine.