La France a retrouvé le sourire depuis les élections du printemps 2017. Mais ses tensions internes, ses aspirations à plus haut et plus beau, son mal-être avec le monde n’ont pas disparu. Ils traduisent un sens profond pour la grandeur comme pour la plaisanterie, pour la dispute comme pour les projets communs mobilisateurs. Joseph Hanimann, correspondant culturel pour la FAZ, puis pour la Süddeutsche Zeitung à Paris, présente un portrait nuancé du pays qui continue à intriguer ses voisins.