225 ans après la naissance de Heinrich Heine, il semble que la querelle autour du poète soit passée d’une phase « engagée » à une phase « nostalgique ». Là où, dans les années 1970, un travail doxographique avait été publié sous le titre Streitobjekt Heine (Jost Hermand), on met aujourd’hui parfois en garde contre un trop grand « œcuménisme heinéen » (Paul Peters). Le colloque jette un nouveau regard sur la discussion autour de Heine en posant la question du rapport entre l’histoire des sciences littéraires et l’interprétation des textes.
Programme :
II. Vers les œuvres tardives : Heine à Paris
09h30 : Marco Rispoli (Padua) – Polemiker oder Weltspycholog ? Zu einigen Lektüren der Denkschrift über Ludwig Börne
10h30 : Michael Woll (Paris) – „Ach, ich kenne diese Laute…“ Die späten Gedichte im Kontext von Heines lyrischen Zyklen
11h30 : pause
12h00 : Susanna Brogi (Nürnberg) – Kunstgenuss im „misstönenden Lärm der Weltgeschichte“ : Heine-Lektüren und Kunstkritik in Siegfried Kracauers ‚Jacques Offenbach und Paris seiner Zeit‘ (1937)
déjeuner
III. Lectures de Heine : Est / Ouest
14h30 : Marit Heuß (Leipzig) – »Misère d’Allemande« . Heinrich-Heine-Chiffren bei Wolfgang Hilbig und Uwe Kolbe
15h30 : Clément Fradin (Paris) – Heine bei Hans Mayer (und Käte Hamburger)
16h30 : pause
17h00 : Mike Rottmann (Halle) – Entpolitisierung Heines ? Zu einer (möglichen) Kontroverse zwischen Heinz Politzer und Jost Hermand
Suite du colloque : jeudi 15 décembre à l’ENS, Amphi Jourdan