Dans cet hommage aux nombreux séjours de Rilke à Paris entre 1902 et 1925 - « Les Cahiers Cahiers de Malte Laurids Brigge » et les « Nouveaux poèmes »-, la langue de Rainer Maria Rilke s’accorde de manière inattendue aux compositions d’Erik Satie - les « Gymnopédies » et les « Gnossiennes » [...], comme si cela avait toujours été pensé ainsi. (hr2-kultur)